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samedi 16 juin 2012

Rose, elle s'appelle Rose...







Roses sur la Côte Lycienne en Turquie.

Les dernières fleurs du jardin de Vullierens


 Jumelles

 Pierre de mon chemin



Roses dans les jardins de Vullierens. En Suisse.

L'alchimiste du ciel, à la recherche de l'or.




 Quartz fumé.




 Perle de verre de créateur : * Ver et Framboise *.


Perle de créateur : Ver et Framboise.


vendredi 15 juin 2012

Mandarine


 Opale de feu.


 Verre recyclé africain




jeudi 14 juin 2012

J'aime ta couleur café....


                                                                    MANIOC
En Guyane, cette « farine », appelée couac, tient une place culturelle importante.
C'est une source peu coûteuse d'hydrates de carbone, mais sa consommation sans préparation adéquate peut créer des problèmes de santé. Le manioc contient en effet des glucosides cyanogéniques toxiques qui sous l'effet d'une enzyme se transforment en acide cyanhydrique. La cuisson des tubercules de manioc les rend consommables.
On en cultive deux variétés principales :
  • le manioc amer, impropre à la consommation s'il n'est pas préalablement détoxifié, et dont les racines séchées sont transformées en tapioca, en cassave ou en farine qui, préparée sous forme de farofa, est un ingrédient de la feijoada brésilienne.
  • le manioc doux, dont les racines peuvent être directement consommées, on note cependant des cas de neuropathies car il contient des hétérosides cyanogènes en moindre quantité.
Les tubercules sont également utilisés pour la préparation de boissons alcooliques distillées, comme la boisson indigène cauim et la tiquira, cachaça commune de l'état brésilien du Maranhão.
La chair des tubercul



Cette espèce est originaire d'Amérique du Nord (États-Unis et Canada) où elle est cultivée par des tribus amérindiennes. L'explorateur anglais Walter Raleigh le découvre en 1585 dans la Virginie tandis que Samuel de Champlain l'observe au Cap Cod en 1605. L'avocat et voyageur Marc Lescarbot, embarque en 1606 à La Rochelle, avec son ami Jean de Poutrincourt, pour atteindre la première colonie françaie Port-Royal où Champlain lui fait découvrir le tubercule. Lescarbot en ramène en France en 16071.
Sa diffusion en Europe se développe rapidement grâce à sa culture facile et sa forte multiplication végétative, même dans des sols pauvres. Elle est appelée poire de terre dans le Traité des aliments de Louis Lémery en 17022.
Sa consommation en tant que légume de rationnement souvent mal cuit et cuisiné sans matière grasse lors de la Seconde Guerre mondiale a laissé dans certains pays d'Europe des mauvais souvenirs. En effet le topinambour (et le rutabaga) a vu sa consommation augmenter car il n'était pas, comme la pomme de terre, réquisitionné[réf. nécessaire] au titre des indemnités de guerre versées à l'Allemagne.


Le topinambour (Helianthus tuberosus L.), aussi appelé artichaut de Jérusalem, truffe du Canada, poire de terre ou soleil vivace, est une plante vivace de la famille des Astéracées, cultivée comme légume pour ses tubercules riches en inuline.

L'appellation anglaise artichaut de « Jérusalem » (Jerusalem artichoke) vient de la déformation du terme « girasole » (tournesol) en Italien. L'appellation « cul d’artichaut » en langage populaire provient de son goût proche de l'artichaut.
Le nom de « topinambour » résulte de la francisation du nom d'une tribu du Brésil, les Topinamboux (Tupinambas), dont plusieurs membres furent amenés comme curiosité à Paris en 1613 (jusque là, il était appelé truffe du Canada), ce qui conduisit Carl von Linné à croire à l'origine brésilienne de la plante, introduite en France à peu près à la même époque.


                                                                    LE SALSIFI

Les salsifis (genre Tragopogon) sont des plantes herbacées appartenant à la famille des Astéracées (ou composacées). Il en existe diverses espèces sauvages, souvent méditerranéennes, mais on connaît surtout le salsifis cultivé (Tragopogon porrifolius), dont on consomme les racines cuites et les jeunes pousses en salade, ainsi que la grande bardane, dans la cuisine japonaise. Il faut cependant préciser que la plupart des salsifis consommés actuellement sont en fait des scorsonères.
Le terme latin « Tragopogon, -onis » vient du grec Tragopogon, formé de tragos, le bouc et pogon, la barbe par référence aux aigrettes barbues qui surmontent les fruits.
Le genre Tragopogon comprend environ 150 espèces originaires d'Eurasie.


mardi 12 juin 2012

Se mettre au vert... mangez des légumes.

Perle de créateur, Suisse.

Le pois mangetout
Le pois est cultivé depuis l'époque néolithique et a accompagné les céréales dans l'apparition de l'agriculture au Proche-Orient.  Il était dans l'Antiquité et au Moyen Âge un aliment de base en Europe et dans le bassin méditerranéen; l'association du pois, ou de la fève, et du blé procurant une alimentation équilibrée notamment en protéines (à l'instar de l'association haricot-maïs chez les Amérindiens). De nos jours, sa culture est pratiquée dans les cinq continents, particulièrement dans les régions de climat tempéré d'Eurasie et d'Amérique du Nord.



                                                    Pe- tsaï

Dans son pays d'origine, la Chine, le chou est le légume par excellence, et le caractère , pinyin cài désigne les plats de viande et de légumes, tout ce qui n'est pas le / fàn (riz, nouilles, mantou, galettes, bouillies). Il est consommé en soupe, en salade, sauté avec la viande, en composant de la farce des Jiaozi (raviolis) et des galettes fourrées.
Fermenté, le Pe-Tsaï est à la base du kimchi dans la cuisine coréenne.


                                       Perle de verre ramenée du Japon. Petit atelier à Osaka.



     L'avocat
 Le mot avocat provient de l'espagnol, aguacate, lui-même dérivé du mot de langue nahuatl ahuacatl qui signifie testicule par analogie à la forme de cet organe.

                                                              A manger avec modération



                                                   Chou chinois

Pour comprendre la motivation de l'association des légumes et des colliers, 
remontez le blog, svp.



lundi 11 juin 2012

* Ne perdez pas la boule ! *

 Il n'y a pas de légume, de fruit, ni d'iris turquoise.
Pour vous présenter cette couleur, je fais un bon en arrière, dans le cadre d'une exposition plus ancienne, dont le titre était :

* NE PERDE PAS LA BOULE ! *.

ce qui m'a incitée à utiliser des boules pour le centre de certains colliers.


 Une vue de l'expo : histoire des jeux de balle et des planètes. Un jeu de boules quoi !
Toujours dans le cadre enchanteur du château de Vullierens, dans la grange du château, transformée en galerie.