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vendredi 5 novembre 2010

QUESTIONNAIRE Pour jouer le relais de l'amitié, lancé par hpy.et invitée par Elfi





























































J'ai été taguée par Elfi, qui souhaitait que je participe au Relais de l'Amitié.

 Invitée elle-même par hpy


Pour commencer il faut ajouter le logo du relais sur le post que l'on fait comme réponse au questionnaire.



1.   Quand vous étiez petit(e) que répondiez vous à la question : Et toi, que veux-tu faire quand tu seras plus grand(e) ?
J’habillais mes poupées, ne tricotais pas encore, mais je savais que je ferais un métier * manuel*.
même que le petit pull je l'avais tricoté moi-même.

         Cliqez svp.                *  Les tricots de Béatrice De *

2.  Quels ont été vos bandes dessinés/dessins animés préférés?
Je me rappelle de brochures reliées que mon père m’avait ramené          de France. Là dedans il y avait une bande dessinée dont le personnage était une femme de la jungle. Il fallait suivre les péripéties, d’un numéro à un autre. Mais, il fallait bien que ça s’arrête, mon père ne pouvant pas aller en France, chercher ce que l’on ne trouvait pas en Suisse.  J’aimerais entendre parler de cette dame, sauvageonne.

3.  Quels ont été vos jeux préférés?
Honnêtement je ne me rappelle de aucun jeu préférés. Nous jouions à cache cache dans un terrain vague, où il y avait des mûres. Terrain qui par la suite s’est vu doté d’une école pour petites classes. Je regardais les autres jouer aux billes, n’ayant pas d’argent pour en acheter. Mais, quand par un heureux hasard, il se trouvais dans ma poche une ou deux agates, je ne les mettais pas en jeu mais les gardais comme un trésor que je ne voulais pas perdre. Donc, pas joueuse.

 

4.  Quel a été votre meilleur anniversaire et pourquoi .
J’étais déjà  *grande*. A trente ans, assise sur un *cagot* renversé du grand marché couvert de Barcelone, à manger un pastèque, que nous avions acheté à prix réduit, à la fin de la matinée.
          
                                                                      
5. Qu'est-ce que vous auriez absolument voulu faire que vous n’avez pas encore fait. pas encore fait?
Voir un défilé de mode Haute couture, mais attention, pas n’importe lequel : le Grand Karl L., Galliano, Versage, Giorgio Armani. Franck Sorbier. Vu une expo à Lyon au musée du textile, c’est déjà ça. Christian Lacroix ( ma douleur ), Valentino ( hélas plus la peine , plus la même veine ). Jean Paul Gaultier, rencontré dans sa boutique de la galerie Vivienne.  J’encourageais une dame à acheter une jupe, bien classique, mais taillée dans un tissus de soie aux impressions cashmere somptueux,
* Madame, vous aurez là un pièce maîtresse de votre garde robe. Si vous vous en lassez, vous l’oubliez au fond de votre armoire pour quelque temps, et la ressortirez avec plaisir*. Les vendeuses à J. P G. * elle devrait faire partie de notre équipe, elle a les arguments* ).


                                 Jean Paul Gaultier
                                                                   
6 Quel était votre premier sport préféré ?
Le karaté. .. Pas petite voyons...    Une anecdote. Dans l’ancien caravansérail de Grenade, transformé en boutiques pour toutous, je rencontre deux policiers qui me disent : attention…. Je réponds * no tiene miedo, hecho karaté ! *. Silence.  Si j’avais rencontré des malfrats, la première chose à faire aurait été de prendre mes jambes à mon cou….. De kararéka, je n’étais encore que novice, et le suis toujours restée !
     Cour de base de karaté : cliquez ici   puis, Sur les images.


                   Evelyne a fait remonter à la surface un souvenir enfoui. Je rêvais de patins à roulettes... que mes parents n'avaient pas les moyens de m'offrir *ces engins inutiles*. Mais un jour une copine vendais ses patins à glace...  J'ai couru, que dis-je, volé jusqu'à la maison * papa, papa, Marie-Josée vend ses patins*pour une tune, 5 francs suisses. J'ai reçu la tune. Un souvenir ému. C'était de vieux patins marrons. A l'époque, les enfants ne faisaient pas la fine bouche si l'objet n'était pas *griffé*. Beaucoup plus tard, quand j'ai commencé à travailler dans un magasin de sport, ma première place à Lucerne, je me suis offerte une magnifique pair de patins ... blancs.


                                                                          
                                                                      
7. Quel était votre premier idole de musique?
Petite, ne me souviens pas avoir eu une idole. Quelques décennies... Plus tard ...  ...  ...


cliquez sur  Barbara.   
Même cousu une robe pour aller la voir en concert.
Violette. l'échancrure était brodé de turquoise. Je m'installais au fond de la salle du bistrot, écoutais le concert de jazz. Personne ne faisait attention à moi, je pouvais coudre tout en réjouissant mes oreilles.Je me rappelle aussi les premiers collanst chatoyants en lurex.

Je pourrais ajouter Bill Haley, rock and roll... Je prenais des cour de danse de rock, passes en l'air etc.
J'entraînais les pas, accrochée au *bouton* du chauffage central. Ma mère devenait dingue, elle qui était plutôt dans la musique classique.
J'aurais mieux fait d'apprendre le tango argentin, plus *dansable* à 72 piges.
Bien que lors d'une milonga, ils ont cassé le rythme du tango en mettant un morceau de rock. Et bien, vous me croirez ou non, cala n'allait pas trop mal avec les espagnols d'une école de tango de Madrid, venus en visite, en suivant leur prof de tango, Argentins, eux-même venus faire une démonstration à Lausanne.

8. Quel est le plus beau cadeau de Noël (ou l'équivalent) que vous avez reçu?
Noël.                        Une merveilleuse orange !   
Du temps où elles ne courraient pas les marchés.

Plus tard, l’obtention d’une bourse, pour aller à ce qui était à l’époque, Les arts et Métiers à Vevey. Là où j’ai appris mon métier de décoratrice.
                             Ecole d'arts appliqués, Vevey


Chères blogeuses. Participez au questionnaire de l'amitier. Les blogeuses ont l'occasion de vous découvrir par ce biais, puisqu'en cliquant sur vos noms, elles arrivent sur vos blogs perso.
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mercredi 3 novembre 2010

Limoges. Trompes l'oeil !

                                                                  En d'autres temps !!!

                                                              Ne vous y fiez pas.

lundi 1 novembre 2010

Limoges, église saint Michel des Lions. La ville haute.

Au coeur de la ville haute. L'autre centre historique de Limoges.

Si le soleil brille, les verrières du choeur  explosent de mille couleurs.

http://www.limoges360.com/place-3.php

Détail prit sur la toile.


St Martial, premier évêque de Limoges, au IVème siècle.

Sur le tombeau de st Martial, fut construit au début du Moyen Âge une abbaye, étape sur la route du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle. L'abbatiale romane dédiée au Sauveur était une des plus belles églises du Sud de la France. Le culte de saint Martial se perpétue encore aujourd'hui lors des ostensions septennales.

 Les ostensions

Les Ostensions sont des cérémonies religieuses millénaires particulières au diocèse de Limoges qui ont lieu tous les 7 ans. 

La première eut lieu en 994 à Limoges alors que sévissait « le Mal des Ardents » qui ravageait l’Aquitaine et une partie de l’Europe. Les reliques de St Martial, patron et protecteur de la ville, ont été exposées et portées en procession de l’abbaye de St Martial au Mont Jovis, colline dominant la ville. Lorsque le corps regagne son tombeau (après 3 jours de jeûne) le mal a cessé.
Les prochaines auront lieu en 2016.

la crypte archéologique de l'ancienne abbaye  de Saint Martial qui rayonna dans toute l'Aquitaine, au temps d'Aliénor,  est ouverte au public.
Malheureusement, je m'y suis cassé le nez plusieurs fois, celle-ci étant fermée à mon passage.

Lire le commentaire d'Anne dans ce chapitre.
                                                       



Imaginez-vous l'ambiance au Moyen Age... sur les parvis des églises.
Image prise sur le net.


L'église saint-Michel-des-Lions. Deux lions de pierre d'époque gallo-romaine, saluent l'entrée des visiteurs.

L'église a perdu la boule !

Surplombé de sa boule de cuivre, le clocher de granite sonne chaque heure pour les habitants du quartier.
Débutée en 1364, et édifiée sur un siècle, elle abrite les reliques des trois saints patrons de Limoges :
Saint Martial, sainte Valérie, saint Loup. 
Typique clocher limousin

dimanche 31 octobre 2010

Limoges, le marché couvert.


Marché couvert.
 Très à la mode au 19ème siècle.

Mur extérieur.

Les halles du marché couvert sont situées place de la Motte, en haut de la rue du Clocher, et ont été entièrement rénovées en 1994. Elles sont faites d’un mélange de fer et de verre reposant sur un petit muret en briquettes rouges. La façade se termine par une frise constituée de petits panneaux de porcelaine décorés, les décors représentant tous les produits vendus dans les halles. Celles-ci abritent en effet un marché couvert, où vous pouvez acheter des produits de qualité : poissons, viandes, fruits et légumes, viennoiseries… Il existe également deux bons restaurants (dont Chez François), où vous pourrez manger de la cuisine simple et de qualité préparée à partie des produits des halles, dans un cadre décontracté (tables et bancs en bois).







Des livres en sandwich. Plat de résistance, les colombages.